Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Jeune homme d'amis de mes parents.
Histoire gay publiée le 22/11/2022
J'avais à l'époque à 18ans et lui aussi. Nos parents était partie faire une sortie en ville pour nous laisser seul à la maison Vers 23h après une soirée à regarder des films dans le salon nous décidons d'aller nous coucher. Après quelques échange de banalité, je le vois se déshabiller et se mettre en boxer. Lucas était sportif, 1m75, cheveux mi-long et une gueule de jeune homme à papa. Je vous avoue que il était pas mal excitant ce gars. Nous nous mettons dans le lit, lui en boxer et moi en pyjama ( un peu pudique je l'avoue) Lucas s'endormie, enfin c'est ce que je pensais à l'époque, et l'a pris d'une excitation terrible je décide de balader ma main sur son corps. M Ma main s'arrête sur l'obiet de tous les désirs. Pris de remords et peur de me faire prendre je m'arrêtez là. Sauf que Lucas dans son repos se tourne et viens se coller contre moi et là sent son sexe dur et chaud sur ma cuisse. Mon excitation est à son maximum, ma respiration est de plus en plus rapide. J'ai pris mon courage à deux main et je plonge ma main dans son boxer afin de toucher sonsex.Et la surprise l'entends: « Vazy depuis tout à l'heure tu l'as cherche » Pris de panique j'enlève ma main du boxer sauf que Lucas m'attrape la main pour la remettre dans son boxer avec fermeté, le message était passé. Je malaxe alors ses couilles, sa teub qui était bien lourde, j'entend des rôles de plaisir ... Je bande comme un âne, d'un coup il me dit « suce moi » et il allume la lampe de chevet C'est là que j'ai pu voir sa bite, un bon 18 cm bien veineuse ... Je l'ai pris en bouche sans hésitation, sa queue était bonne, il donnait des petits coup de rein pour me guider dans la sucions. Après bien 15 min de pipe, la respiration de Lucas s'accélère et il décharge tout dans ma bouche sans dire un mot. Il remonte son boxer se tourne sur le côté comme si ça mission était accomplie. Le lendemain matin, il agissait avec moi comme si de rien n’était, et on en a pas reparlé