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Coups de queue bien mérités
Published on 21/01/2019
Quand Antoine est entré dans la salle de cours, ce jour-là mi-septembre, bien des yeux se sont tournés vers lui. Il n’avait pas le profil habituel des étudiants de lettres, faut dire : un grand mec, assez carré, d’allure plutôt athlétique, blond aux cheveux mi-longs, on les imagine, les comme ça, plutôt à la plage avec une planche de surf, ou en STAPS. Comme cette salle de TD est toute petite, il ne reste que deux places : au premier rang sur le côté, ou à côté de moi, plutôt au fond, et pas loin de la porte ; c’est là qu’il s’installe. Nous avons juste le temps de faire quelques présentations avant que le cours ne commence. Parlant de présentation, je n’ai pas l’exact profil du lettreux non plus, car même si je suis assez petit, je suis le seul mec « typé », arabe, de la promo, et sûrement aussi le seul à connaître l’existence d’une salle de sport que j’ai commencé à fréquenter il y a quatre ans en entrant à la fac. Moi, Mehdi, 22 ans, et penché sur Céline, pas la chanteuse, l’écrivain. Les facs de lettres sont pleines de jeunes femmes, mais elles ne m’intéressent pas. Les mecs y sont plus rares et pas très… disons qu’il n’y a pas de quoi me faire bander dans cette fac. Enfin, il n’y avait pas de quoi, avant cette arrivée. L’inconvénient qu’il soit à côté de moi, c’est que je ne peux pas mater. L’avantage, c’est qu’il a l’air de ne mater personne non plus. Une fois le cours fini, Antoine reprend sa conversation avec moi : il vient d’arriver en ville, il ne connaît pas les lieux, ni le campus, ni le reste. Je me propose donc de lui faire découvrir tout cela. Le campus, c’est vite fait, une fois qu’on a vu où bosser, où bouffer, fin de l’histoire, direction le centre-ville. Une fois le tour fait, les étudiants peu fortunés que nous sommes décident de manger non pas dehors, ce qui revient plus cher, mais chez moi. Pendant que je m’affaire à préparer quelque chose de décent, Antoine a tout le loisir de visiter ma bibliothèque, et d’apercevoir mon carnet de croquis ouvert à une page où figure un homme tout à fait nu. — « Tu dessines ? » demande-t-il. Je ne peux m’empêcher de rougir. Ce n’est pas que je fasse mystère de mon homosexualité, mais la vision jetée sur le papier est tout de même assez sexualisée. — « Je gribouille. » — « J’aime bien », répond-il. « Le mec est bien foutu, ça me plaît… » Le message est assez clair. — « Il y en a d’autres, feuillette, fais-toi plaisir. » Vers la fin du repas, comme il relance un œil au carnet, je lui fais remarquer : — « Oui, j’aime les mecs. » — « Ah, euh, oui… Enfin, dans quel sens ? » — « Dans tous les sens », dis-je d’un air lubrique. Il se tourne vers moi, interrogateur, je passe ma langue sur ma lèvre, et là, il se jette littéralement sur moi pour m’embrasser fougueusement. Ce à quoi je réponds du mieux que je peux : les hostilités sont lancées. Il est au-dessus de moi et pendant qu’on s’embrasse il remue le bassin, on remue ensemble… C’est ultra chaud, les fringues valsent vite. Un putain de torse, des pecs gonflés, des abdos plus que tracés, sculptés ! Ma bite est gonflée à bloc, mais je dois avouer que ce que j’ai senti dans son boxer m’attire fort et que j’ai bien envie de me faire déboîter le cul. Interrompant notre baiser, il me chuchote : — « Je veux que tu me baises. » Je suis pour le moins étonné : je ne me suis jamais figuré Antoine autrement qu’actif. Il remarque ma surprise : — « Tu n’as pas dit “dans tous les sens” ? » — « Oh que si ! » Et j’ajoute : « Suce-moi d’abord. » Il est descendu vers ma bite et a commencé à la léchouiller gentiment, avant d’engloutir tout le membre d’un seul coup. Gorge profonde, 19 cm gobés par surprise ! J’ai kiffé. — « Tu suces bien. T’auras bien mérité mes coups de queue. » Il se retourne, s’allonge sur le dos et me présente son cul, imberbe, rond, ferme. J’ai bien fait de ne pas me laisser désarçonner par sa passivité : ce cul est un chef-d’œuvre. — « Vas-y », lance-t-il, « nique-moi. » J’attrape capote, je badigeonne de gel, et je commence à rentrer doucement, comme si j’avais du mal. Il gémit tout aussi doucement. Je rentre un petit peu, je ressors, je re-rentre, etc. Il gémit de plus en plus jusqu’à ce que, bien ressorti, je plante tout le dard dans son trou et lui arrache un gémissement. — « Moi aussi je peux faire des surprises. » — « Fais-toi plaisir. » J’obéis. Je commence à le baiser avec enthousiasme, toujours en missionnaire, et il couine. Je me retire et le retourne. — « Je vais te baiser en levrette. » Je recommence en douceur (enfin, en relative douceur) mais le rythme accélère vite. Je finis par attraper ses cheveux pour lui tirer la tête en arrière. — « Oh oui », gémit-il, « défonce-moi comme une petasse ! » Décidément, cet Antoine si baraqué est en fait une passive bien chienne ! Et je le pilonne tant que je peux. — « Je crois que je vais bientôt plus en pouvoir », lâche-t-il. — « OK, retourne-toi, remets-toi en missionnaire, je veux voir ta gueule de salope quand tu vas te gicler dessus. » Il le fait. Je rentre d’un coup rude qui le surprend et lui arrache un petit cri. Et je le défonce de toute ma puissance, je veux me finir dans son cul aussi. — « Branle-toi », lui ordonné-je. — « Pas… han !… la… han, han ! peine ! » Et en effet quelques instants après il se gicle dessus sans se branler. Je me finis rapidement après, en cinq-six coup de bites bien profondément envoyés. — « Ouh ! », soupire-t-il de satisfaction après quelques minutes de silence, épuisé, repus. « Y’a pas à dire, vous les rebeus vous savez baiser ! » — « Cette remarque est un peu raciste », lui fais-je remarquer. — « Oooh », faut-il en lançant un regarde provoquant en soulevant son cul, « je mérite d’être puni ». Je lui ai foutu une petite claque sur le cul. — « Dans cinq minutes je suis de nouveau raide, dans cinq minutes je te punirai. Tu vas gober mon jus. » Mais c’est une autre histoire.