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Deux laveurs de voitures prennent un peu de bon temps entre deux clientes en chaleur qui viennent pour se rincer l'oeil sur ces deux hommes beaux et puissants. En attendant donc, ces deux bombes sexuelles se sucent la bite et se défoncent l'anus sans le moindre tabou. Ils se font du bien, que font-ils de mal ?

Entre les mains du sensuel et dominateur Gabriel Clark, aucun passif ne résiste. Ils finissent tous pareils : soumis, accros à sa bite, suppliant de s'en prendre toujours plus fort dans le cul. Un nouvel exemple d'un jeunot qui va se donner comme jamais au maître de la baise.

Chaque semaine, le admirateur va mater les joueurs de l'équipe de foot locale. Rien ne le fait plus fantasmer que ces jeunes mâles en short, virils, avec des chaussettes qui doivent bien sentir le mâle. Il se trouve que ses deux footeux préférés vivent dans la même cité que lui. Ils ont repéré ce fan gay qui les regardent comme une chienne en manque. Les gars sont bis, pour eux tout ce qui compte c'est de se vider la teub. Peu importe la manière, tant qu'il y a moyen de coller sa bite dans un trou qui demande pas mieux. Le fan va devoir montrer son admiration et sa dévotion et jouer au vide couilles officiel de l'équipe.

Les deux bogosses profitent de leurs vacances pour aménager leur cabane. L'un des deux, un superbe brun ultra bien fait, donne des coups de marteau. Mais c'est un autre type de marteau qu'il va bientôt avoir entre les mains puisque son pote a juste super envie de le baiser. Pas de blabla : c'est pas la première fois qu'ils niquent ensemble. Le BG sait comment ça se passe : il se met à genoux, il avale la tige et il laisse le boss le guider. C'est sûr, le gars le traite comme une salope et l'encule très fort... Mais c'est tellement bon de sentir dominé et d'avoir une super queue dans la raie. Possédé et chaud, le passif ouvre la gueule et réclame la semence. Il avait pas pris son ptit déj, il va avoir sa crème !

En week end, un beau gars sportif fait une sieste et se réveille avec une trique infernale. Rien ne compte plus alors que de se vider les couilles. Sous la douche ça se branle à 200 à l'heure pour cracher tout.

Un jeune stagiaire va fouiller dans le bureau de son patron et tombe sur un porno gay. Ca lui met la bite dans le fut, il mate et il s'astique à fond. Cracher le foutre sur le fauteuil du boss : bien kiffant !

Quand on est jeune et passif et qu'on cherche le mâle, faut pas se plaindre après quand on se fait dézinguer les fesses. Le minet va l'apprendre alors que l'actif va transformer son trou en sextoy. Objectif du jour : ouvrir cette chatte comme jamais et la gaver au zob. On écarte et on prend.

Un militaire tente de se détendre dans sa chambre en se branlant avec un magazine gay. Un de ses camarades va le rejoindre et lui donner de quoi sucer avant de bien l'enculer. Mieux qu'une branlette : c'est toujours top de sentir de la queue dans ses fesses.

Brice Farmer peut pas s'en empêcher : il pense au cul toute la journée. Alors quand un jeune blond BCBG et lisse lui fait visiter un appartement, il se met à bander. Ok c'est une visite, oui le mec est agent immobilier et c'est risqué. Mais Brice est pas bête : il sait repérer les ptits gays passifs à des kilomètres, son radar est infaillible. Alors il y va et chauffe le beau mec qui finit à genoux à le sucer et lui obéir. Accro à la bite du playboy Farmer, il oublie ses bonnes manières et fait sa chienne, couinant en mode femelle et donnant son cul pour se faire sodomiser à fond. On sait pas si y a de l'eau et de l'électricité ici mais en tout cas, c'est sûr, va y avoir du foutre.

C'est un après-midi dont ce passif se souviendra : le bogosse Christian Wilde est venu chez lui et lui a pété le fion. Tout a commencé par des pelles puis des grosses pipes et le cul s'est ouvert tout seul, prêt à se faire défoncer. Un super pied !

Au cabinet du Docteur Darius, on vient pour expliquer qu'on a chaud au cul et qu'on a un besoin urgent de se prendre de la teub. C'est comme ça qu'on se prend la bite du médecin au fond de la raie en guise de traitement. Attention, risque de dépendance !

Au début, le jeunot a cru que ça allait être un plan à la cool, sous le signe du partage. Le quadra gay y a été tout doux, l'a embrassé et même sucé. Mais à , le ton change, les gestes se font plus brusques et le minet comprend où est sa place ! Il pourrait dire non, refuser de se faire enculer à 4 pattes comme une petite petasse qu'on culbute à grand renfort de coups de bites. Mais il bande déjà, il se sent soumis et il a juste très très envie de se faire baiser son cul imberbe qui crie famine. Alors il encaisse, il en redemande et il va tout faire bien exciter son homme qui a du jus à revendre.